Le Marquis vint carrosse au-devant de la troupe et fit étalage des bois et prairies qui entouraient son domaine. Le détour par la voie verte qui longe la Loire nous fit rencontrer le poète Gaspard, la plume essentielle du parchemin numérique du Marquis qu’il appelle je crois "Chemin de la Musarde".
L’accueil en son château fut royal, normal pour un nobliau, le breuvage au nom de Saint et la Méroise satisfirent les gosiers des gueux et manants ici présents.
Dame Joëlle s’affaira pendant que le Marquis soigna ses invités.
Le retour fut joyeux, on ne sait pourquoi ? Et la pluie n’eut plus qu’à repartir.